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STANLEY KUBRICK







PATHS OF GLORY

LES SENTIERS DE LA GLOIRE








Synopsis

En 1916, tandis que la guerre s'est enlisée depuis longtemps dans les tranchées, le général Broulard incite le général Mireau, qui tient tranquillement son secteur, à donner l'assaut à la cote 110 une très solide position allemande, et ce sans renforts ni préparatifs. Repoussé par le feu ennemi, le 701e régiment, commandé par le colonel Dax, doit se replier avec de lourdes pertes.

Le général Mireau décide alors de traduire en conseil de guerre le régiment pour « lâcheté ». Malgré l'opposition de Dax, 3 hommes tirés au sort seront jugés, condamnés à mort et exécutés.

Dax avait entre-temps soumis au général Broulard, chef de l'état-major, les preuves que le général Mireau avait ordonné à son artillerie de tirer sur ses propres troupes pendant l'attaque, ordre que les artilleurs avaient d'ailleurs refusé d'exécuter sans confirmation écrite. Broulard révoque Mireau et propose son poste à Dax en croyant que celui-ci avait agi par simple ambition. Dax refuse. Quant au 701ème Régiment, il est immédiatement renvoyé au feu.





Production : Kirk Douglas, James B. Harris et Stanley Kubrick
Réalisation : Stanley Kubrick
Scénario : Stanley Kubrick, Calder Willingham et Jim Thompson, d'après le roman de Humphrey Cobb paru en 1935
Directeur de la photographie : Georg Krause
Musique : Gerald Fried
Générique du début : la Marseillaise
Durée : 84 min
Noir et blanc
Studios : Munich - Été 1957
Distribution : Artistes Associés





Distribution

Kirk Douglas : le colonel Dax
Adolphe Menjou : le général George Broulard
Ralph Meeker : Paris
George Macready : le général Mireau
Timothy Carey :Férol
Joseph Turkel: Arnaud.
Wayne Morris.
Richard Anderson.
Susanne Christian











AUCUN COMMENTAIRE POSSIBLE , LE FILM PARLE DE LUI MEME , .
UNE TRES GRANDE OEUVRE ANTI MILITARISTE AU MEME TITRE QUE "LA LISTE DE SCHINDLER"







LA BETISE HUMAINE N'A AUCUNE LIMITE









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#Posté le mardi 13 novembre 2007 12:20

Modifié le vendredi 05 septembre 2008 07:50

STANLEY KUBRICK

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#Posté le mardi 13 novembre 2007 12:34

Modifié le mardi 30 septembre 2008 12:45

STANLEY KUBRICK



AUTOUR DU FILM


Secrets de tournage


Bryna ?
Bryna Productions, qui produit le film, n'est autre que la société de Kirk Douglas.

Un producteur figurant
A noter que le producteur James B. Harris apparaît brièvement dans le rôle d'un soldat, lors de l'attaque de la colline.

Jim Thompson, scénariste.
Après L'Ultime razzia, il s'agit de la seconde collaboration scénaristique entre Stanley Kubrick et le romancier Jim Thompson. Ils furent aidé par Calder Willingham.

Ah, ces Belges !
Effrayés par le scandale provoqué lors de sa sortie à Bruxelles, les distributeurs refusèrent, durant plus de quinze ans, de distribuer le film en France.

Une Happy end ?
Pour des raisons commerciales, Stanley Kubrick envisagea tout d'abord de conclure Les Sentiers de la gloire par un happy-end. Il garda finalement la fin pessimiste du roman initial.





Remarques

Le 701ème Régiment est une unité fictive. Le numéro 701 n'a jamais été attribué à un régiment d'infanterie de l'armée française durant la Première Guerre mondiale, la numérotation des régiments d'infanterie s'arrêtant à 421. Le 710ème Régiment (ce numéro apparaît dans un plan) est évidemment aussi fictif.

Kubrick situe l'action de son film en 1916, mais les faits dont il s'inspire se sont déroulés essentiellement en 1914 et 1915. Sans doute faut-il voir ici la volonté de marquer les différences flagrantes existant entre fiction du scénario et réalité de l'histoire.

Le général de division Mireau n'a que 2 étoiles et on lui en promet une troisième avec le commandement d'un corps d'armée. En fait, il devrait avoir 3 étoiles et en espérer une quatrième.

L'unique mitrailleuse qu'on aperçoit dans un plan semble être une Maxim britannique, très différente de l'Hotchkiss française qui fit tout 14-18 (et même 39-40).

La grenade utilisée lors de la patrouille n'a rien à voir avec la quadrillée française réglementaire.

Le salut militaire tête découverte n'est pas de mise dans l'armée française.

Les généraux français ne s'appellent pas par leur prénom.

Le colonel Dax est présenté comme réserviste : qu'il commande un régiment de première ligne est impensable dans l'armée française de 14-18.

Le colonel Dax se déplace en moto avec side-car : en 1916, ça paraît douteux.

Le château dans lequel se situe le QG n'a rien d'un château français mais ressemble plutôt -et c'est un comble- à un château allemand alors que l'armée française n'a pas pénétré sur le territoire allemand (sauf au tout début de la guerre en Alsace-Moselle occupée à peine quelques jours lors des batailles de Morhange et de Thann).

Les débats de la cour martiale suivent un schéma purement anglo-saxon.

Inspectant la tranchée, le général Mireau gifle un soldat en état de choc. Tous les officiers savent qu'il faut absolument éviter ce genre de fantaisie non seulement parce que le règlement l'interdit mais aussi parce qu'avec des gens plus jeunes ayant des armes plein les mains, on ne peut jamais prévoir comment ça peut finir. Le fameux Patton a failli voir sa carrière interrompue pour un incident du même genre (survenu en pleine bataille et donc plus justifié).

Dans sa rage, le général Mireau veut faire fusiller un homme sur 10 dans tout le régiment. La «décimation» était prévue par la discipline romaine mais Polybe précise qu'elle était extrêmement rare. L'appliquer à tout un régiment dans une armée moderne est impensable.

On remarquera enfin une incohérence au niveau de l'histoire : la prise de la Cote 110 est présentée comme élément essentiel d'une grande offensive mais ne vaut au général Mireau aucun renfort et est absolument improvisée, ce qui paraît peu plausible. Le procédé conviendrait plutôt à une diversion.
















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#Posté le mardi 13 novembre 2007 16:00

Modifié le mercredi 03 septembre 2008 09:19

STANLEY KUBRICK






Le contexte historique





Ce film s'inspire de plusieurs faits réels. Pendant la Première Guerre mondiale, environ 2 500 soldats français ont été condamnés à mort par les conseils de guerre, dont un peu plus de 600 furent réellement fusillés « pour l'exemple » par l'armée pour des motifs divers (abandon de poste, mutilations volontaires, refus d'obéissance, etc.), les autres ayant vu leur peine commuée en travaux forcés.

Stanley Kubrick s'appuie entre autres sur l'affaire des caporaux de Souain où le général Réveilhac aurait fait tirer sur son propre régiment refusant de sortir des tranchées lors d'un assaut impossible, avant de faire exécuter quatre caporaux le 17 mars 1915 ; ils seront réhabilités en 1934. La justice militaire était devenue une justice d'exception depuis des décrets d'août et septembre 1914 : le sursis, le recours en révision, les circonstances atténuantes et le droit de grâce étaient supprimés.

L'épisode du soldat sur une civière qu'on ranime pour le fusiller s'inspire lui d'un autre cas, celui véridique du sous-lieutenant Jean Julien Marius Chapelant exécuté le 11 octobre 1914 après une parodie de procès. Gravement blessé aux jambes depuis plusieurs jours, incapable de tenir debout, épuisé moralement et physiquement, le sous-lieutenant Chapelant avait alors été ficelé sur son brancard et celui-ci posé le long d'un arbre pour qu'on puisse le fusiller. Inhumé au cimetière d'Ampuis où il est né, sa tombe a été honorée par l'Union des mutilés et anciens combattants qui y ont apposé une plaque de marbre portant l'inscription suivante : « Les anciens combattants à leur frère d'armes Jean Julien Marius Chapelant, martyr des cours martiales ».




La censure cinématographique en France

Alors que le retour de la censure du cinéma est un thème régulièrement relancé à propos de quelques films récents (Scream et ses effets pernicieux sur le comportement des jeunes, Baise-moi et sa pornographie « d'auteur »), il est bon de rappeler, à propos des Sentiers de la gloire et plus largement de la période des années 1950 et 1960, combien les interdictions de sorties en France ont été nombreuses et la liberté d'expression limitée. Un bref retour sur le contexte moral de cette époque permet de comprendre le sort réservé au film de Kubrick.
Grosso modo, la censure s'exerce après-guerre à l'encontre de trois types de films. Dans le premier cas, il s'agit des films pouvant heurter les sensibilités par leur audace, leur licence, leur « sensualité » ou leur « vice ». Plusieurs films subissent ainsi les foudres des esprits bien-pensants : Un caprice de Caroline chérie (Jean Devaivre, 1952), Le Blé en herbe (Claude Autant-Lara, 1953), Et Dieu créa la femme (Roger Vadim, 1957), La Femme mariée (Jean-Luc Godard, 1964), sans toutefois être interdits de sortie (le film de Godard, néanmoins, échappe à ce sort au prix de quelques coupures et doit changer son titre en Une femme mariée). On le voit, la personnalité, jugée provocante, de nouvelles actrices au comportement « libéré » et aux corps « révélés » (Martine Carol, Brigitte Bardot) suffit alors à justifier le tollé des plus puritains.
Dans d'autres cas, il s'agit de films qui s'attaquent « de manière diffamatoire » à la religion : Viridiana, de Luis Buñuel (1961) est interdit, comme La Religieuse, de Jacques Rivette (1965), ce dernier déclenchant d'ailleurs une polémique violente et longue (près d'un an et demi) au terme de laquelle le film reçoit finalement son visa d'exploitation.
Enfin, certains films sont jugés offensants à l'égard de la France et de ses institutions. Dans le cadre hautement tabou de la colonisation et de la guerre d'Algérie, ces films, nombreux depuis ceux de René Vautier (Afrique 50, 1950) ou d'Alain Resnais (Les statues meurent aussi, 1953) jusqu'à La Bataille d'Alger de Gillo Pontecorvo (1970), sont condamnés par des groupes de pression parce qu'ils portent atteinte à l'honneur national. Les Sentiers de la gloire se situent quelque part dans ce dernier groupe de films : il ne fait pas bon fustiger l'attitude inhumaine d'officiers français au moment même où ceux-ci accomplissent leur douloureux devoir dans les djebels et casbahs d'Algérie.
Ainsi, en 1966, 114 longs métrages demeurent officiellement interdits en France, et cela depuis la fin de la guerre. Mais Les Sentiers de la gloire, on verra pourquoi, ne figurent pas dans la liste.
Qui censure en France alors ? Officiellement, le ministre chargé du cinéma ou la présidence du Conseil (sous la IVe République), après avis consultatif de la Commission de contrôle des films, ou le ministre de l'Information (sous la Ve République). Mais le poids des censures « officieuses » est souvent prépondérant. Les associations familiales et la Centrale catholique qui évalue le degré de visibilité des films, notamment, font la pluie et le beau temps. De frileux élus locaux, maires en tête, parachèvent le jugement porté par ces ligues morales en usant de leur droit d'interdire la projection de films dans les communes dont ils ont la responsabilité.
Or il existe une forme de censure plus douce et plus efficace : l'autocensure. C'est de celle-ci que souffrent Les Sentiers de la gloire en 1958-59. En effet le film de Kubrick n'a jamais été soumis à la censure officielle française. Mais, montré en Belgique, il subit bien vite les attaques de militaires et d'anciens combattants choqués par la vision de l'armée française que propose le réalisateur. En outre, la diplomatie française déclenche une violente offensive à destination des Artistes associés, distributeurs du film en Europe. Malgré le succès du film à Bruxelles (il y obtient le prix du Chevalier de La Barre), le Quai d'Orsay demande à Washington de suggérer aux distributeurs de renoncer à une exploitation des Sentiers de la gloire en Belgique. Autocensuré, le film n'a donc plus aucune chance de sortir en France. Il faut attendre 1975 pour que, les passions étant apaisées et la censure assouplie, le film de Kubrick puisse enfin être projeté... pendant l'été.










Le film de guerre n'est pas isolé dans l'œuvre de Kubrick. Fear and Desire (1953), son premier long métrage, était déjà un film de guerre, et de Barry Lyndon (1975) à Full Metal Jacket (1987) en passant par Dr Folamour (1964) ou Spartacus (1960), ses films sont nombreux à mettre en scène des soldats.

C'est un film de guerre mais surtout un film contre l'armée. Il dénonce des rapports sociaux profondément viciés, et la résistance désespérée que leur offrira un homme, le colonel Dax. L'opposition, à la différence du film de guerre classique, ne passe donc pas entre deux camps mais entre les officiers et les soldats d'un même camp, les uns jouant leur promotion, les autres leur vie (on ne voit jamais les Allemands). Ce thème sera repris en 1970 par Francesco Rosi dans Les hommes contre.













L'histoire


Lors de la guerre de 1914-1918, tandis que le conflit s'est enlisé depuis longtemps dans la guerre de tranchées, l'état-major français décide une offensive quasiment impossible sur la « colline aux fourmis ». Repoussé par le feu ennemi, le 701e régiment, commandé par le colonel Dax, doit se replier. Le général Mireau, chef de l'offensive, demande alors de traduire en conseil de guerre le régiment pour « lâcheté ». Malgré l'opposition de Dax, trois hommes tirés au sort seront condamnés à mort et exécutés. Dax avait entre-temps soumis au général Broulard, chef de l'état major, les preuves que le général Mireau avait fait tirer sur sa propre armée pendant l'attaque. Broulard révoque celui-ci et propose son poste à Dax en croyant que celui-ci avait agi par simple ambition. Dax refuse.


Le contexte

Les Sentiers de la gloire est un best-seller de Humphrey Cobb datant de 1935. Après L'Ultime razzia, son troisième film, Kubrick voulut l'adapter. L'adhésion des producteurs fut emportée par le désir qu'eut Kirk Douglas de jouer le colonel Dax. Le film centre l'action sur les rapports entre Dax et les officiers, il laisse bien davantage en retrait les soldats eux-mêmes, sauf l'épisode de la reconnaissance dans le no man's land et le cas du caporal Paris, pour des raisons qu'on verra plus loin. Bien apprécié aux États-Unis - peut-être aussi parce que sa critique de l'armée, qui serait universellement valable, prenait pour cible explicite l'armée française - le film reçoit plusieurs récompenses. Mais il est chahuté en Belgique, soumis à une forte pression française, interdit en Suisse ; en France, il sera boycotté et ne sera pas même soumis à la commission de censure. Les cinéphiles iront le voir parfois en groupe en Belgique. Le film sortira en France dix-huit ans plus tard.
Le film s'inspire de faits réels. Près de 2 000 soldats ont été réellement fusillés « pour l'exemple » par l'armée française au motif de « lâcheté devant l'ennemi ». Le général Revilhac a effectivement voulu faire tirer sur son propre régiment bloqué dans les tranchées lors d'un assaut impossible, puis il a fait exécuter quatre soldats en mars 1915, qui seront réhabilités en 1934. Même l'épisode du soldat sur une civière qu'on ranime pour le fusiller a bien eu lieu.
Le film de guerre n'est pas isolé dans l'œuvre de Kubrick. Fear and Desire (1953), son premier opus, était déjà un film de guerre, et de Barry Lyndon (1975) à Full Metal Jacket (1987) en passant par Dr Folamour (1964) et, dans une certaine mesure, Spartacus (1960), ses films sont nombreux à mettre en scène des militaires. Quant à la violence en général, elle traverse toute son œuvre, Kubrick déployant une interrogation constante sur la mise en scène de cette violence (pensons à Orange mécanique comme à Eyes Wide Shut).







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